Nul de chez nul, c’est trop nul

Coucou les copains,

Alors, on n’a pas pu rester longtemps dans la piscine d’un super hôtel dans lequel on se déplaçait en bateau ou en tram. On n’y a pas dormi non plus « parce que ça coûte trop cher ». Puis le soir, alors que j’étais fatigué, on est allé dans un autre super hôtel qu’on a eu de la peine à trouver – on y est allé pour rien. Les raies manta qu’on devait voir ne sont pas venues. On a regardé pour rien des grosses vagues s’écraser sur les rochers. Puis encore le lendemain, on s’est levé tôt pour aller voir et nager avec les dauphins. Loupé aussi. On en a vu de loin, mais on n’a pas pu nager avec. Encore chance qu’il y en avait qui s’entraînaient la veille dans le super grand hôtel.

Nul de chez nul, c’est trop nul

Ciao les mecs. Emile.

[Ca sert aussi à ça un voyage: à apprendre à se contenter et à relativiser. Pauvre enfant!]