Hale’akala- maison du soleil
Deux volcans, un petit et un grand, se sont rejoints il y a 900’000 ans pour ne former qu’une seule île: Maui.
Ce matin, nous sommes partis à la rencontre du plus grand des deux volcans, le géant endormi Hale’akala, coiffé de gros nuages. Il ne pleuvait pas, c’était déjà ça!
Mais lorsque nous sommes arrivés en haut, le géant méritait son nom: Hale’akala signifie la maison du soleil. Plus un nuage à cette hauteur-là (10’000 pieds= 3055 mètres). Par contre, il fait froid dans la maison du soleil! Et il y vente fort!
Sinon le panorama est à couper le souffle: gigantesque caldeira recouverte de plus petits cratères et de couleurs incroyables, rouge, ocre, jaune, gris, noir, avec quelques touches de vert. Et du bleu par dessus la tête.
Nous avons exploré -un petit peu- ce décor lunaire en marchant dans la caldeira.
L’aller, tout en descente, petits sauts de cabris et waouuuuh! Le retour était plutôt en pffff, rhhhh, et « maman j’ai les jambes en compote…. »
C’était une journée magnifique.
Aloha!
Caroline
PS: Le petit volcan s’appelle Hale’hamina, la maison de la lune. A+
Waowwww c’est merveilleux. Bonne continuation de voyage. Et Benjamin ça ne s’appellerait pas voyage. Si de temps à autre il n’y avait pas un plan de M :-)) .
Bisous de nous trois
Tu me fais rire, ça fait du bien, Caroline. Tu me manques aussi, moi je n’ai pas l’élan d’aller courir toute seule et pour les baleines je pourrais à la rigueur avoir de nouveau une hallucination comme la fois avec le grèbe mais il faudrait vraiment que j’aie très mal dormi la nuit d’avant. Alors je préfère rêver avec tes mots. (Cela dit, aujourd’hui il a fait tellement beau et chaud que Tan, Amandin et moi sommes allés faire du patin à roulettes jusqu’à la Pointe-du-Grain et on a trouvé ça très beau et régénérant. Lucillien quant à lui suivait un atelier de théâtre à Cernier.) BiZous, Orélie
Ta barbe a poussé Benjamin! Bisous bisous, je me réjouis de vous revoir. Lucillien
Elle est trop belle la boule d’herbe. Amandin
Wahou, c’est beau, et vous êtes seuls au monde, non, là-bas!?
Nous pensons fort à vous, je vous envoie des grosses bises. Orélie
Presque…il y a aussi le grand schtroumpf! Je suis allée courir au bord de la mer la semaine passée: tu m’as beaucoup manqué. On se serait arrêté car il y avait des baleines qui sautaient à quelques centaines de mètres du bord. Ça faisait splatch, et sploutch! Elles avaient l’air de bien s’amuser! On pense aussi souvent à vous. Becos pour vous 4. Caroline et cie.